Lire un Modiano en m'apercevant seulement à mi parcours que je l'avais déjà lu, oui ça m'est arrivé. Et effectivement, mis à part « Villa triste », je ne peux pas dire que je me souvienne vraiment d'aucun de ses livres (que je sais pourtant avoir, presque tous, beaucoup aimés) Ou alors, j'ai des bribes de souvenirs, des situations, des bouts de phrases : mais dans quel livre ??? (Par exemple, quelqu'un saurait me dire où apparait « Mickey du Pam Pam » ?)<br />
Même chose, en pire pour Echenoz. <br />
Mais je confonds aussi les pièces de Tchekov.(Mais il ne faudrait peut-être pas écrire ; « mais » ?..)<br />
Simenon, c'est un peu différent : la géographie me sauve ; si je ne me souviens pas, ou peu, des personnages ou de l'intrigue, je me souviens des lieux. (D'ailleurs, la preuve : j'ai cru avoir déjà lu un de ses romans quand, comme celui avec lequel je le confondais, il se situait aussi à La Rochelle.)<br />
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Mais (mais?), vous savez, je relis régulièrement les Chandler, toujours avec le même plaisir et toujours aussi curieux de savoir comment ça finit.<br />
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(P. S. : Je suis allé à la poste cet après-midi. Comprend qui peut.)
T
Tlön
15/02/2006 16:22
Le problème, si j'ai raison, c'est que vous ne pouvez pas savoir si ce n'est pas toujours ce même "Bourgmestre" que vous avez lu. A force on s'imprègne.
L
L.S.
15/02/2006 15:51
Je n'ai pas oublié "Le bourgmestre de Furnes" lu il y a bien des lustres...
T
Tlön
15/02/2006 13:19
Votre ami PB ne semble pas aimer Simenon, pour ma part je ne trouve pas ça désagréable. Comme Modiano, on oublie aussitôt que l'on a fini. Si bien que l'on peut lire toujours le même ad infinitum....<br />
Comment conjugue-t-on le verbe pleuvoir en japonais ?