8 mars 2008
Ensemble
A me souvenir, je comprends maintenant comme chaque jour qui nous arrache à l'enfance et à la ressemblance nous ouvre les portes de la solitude.
C'était le temps où nous vivions ensemble, où, les genoux écorchés, la morve au nez et les cheveux balayant le front, nous galopions de la même course vers la vie.
Jean Cau, Les Paroissiens
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