17 juin 2006
Europe unie
« Il y a aussi la solution qui consiste à se promener douze heures de rang dans les Vosges avec un Ukrainien qui ne parle que sa langue maternelle. Il n'y a aucun sujet de dispute, ni de déception, on se quitte avec une estime réciproque touchante. C'est ça qui fonde les amitiés les plus solides. Le reste est fatigant et réserve toujours des surprises désagréables. » (Philippe Merlen, lettre à Emmanuel Peillet du 25/09/1943)
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