Les mots de la fin
« Le principe d'une liberté des autres étendant la mienne à l'infini est aboli au profit d'une volonté égoïste de promouvoir son petit pouvoir particulier afin d'assurer, à n'importe quel prix, le caractère exclusif de son identité ; même si cette dernière est factice, même si plus aucun réel désir ne l'anime. Tout ce qui a été vécu sous l'angle de l'individu et de la raison, tout ce qui tendait à une libre production de l'histoire (personnelle et collective) s'est dissous au profit d'une organisation néo-féodale de la société dont le processus semble irréversible. » Jordi Vidal, Servitude et Simulacre
(Merci à Jurieu. Sans doute suis-je trop gangrèné par la pensée pomo pour ne pas croire qu'irréversible est effectivement le fin mot de l'h(H)istoire.. Mais après tout, comme disait l'autre, c'est encore plus beau quand c'est inutile. Et puis on ne sait jamais...)